L’envolée des réseaux sociaux offre un formidable espace de liberté d’expression qui parfois se transforme en enfer.
Le cyberharcelement de plus en plus répandu est encore jugé tabou par les adolescents victimes. Difficile alors de pousser les portes pour se faire aider, une fois sortis du silence, les familles sont souvent démunies. Si un soutien psychologique est parfois nécessaire pour se reconsctruire, la sophrologie peut également présenter un intérêt pour apaiser les craintes, retrouver confiance et estime de soi en quelques mois.
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